On ne va pas se mentir, ces derniers mois ont été tumultueux, la fatigue et l’anxiété se sont accumulées et on ressort de ces deux derniers mois essorés jusqu’à l’os.
Pour autant, il faut continuer à être motivé, il faut continuer à travailler.
On a sélectionné pour vous les éléments à mettre en avant :
L’introspection :
Pour faire en sorte qu’une équipe, ou un qu’un groupe aille bien, il faut déjà aller bien soi-même. Pour ce faire, quand un climat anxiogène est autour de soi, la première étape est de souffler.
On se pose, on s’ancre et on respire. Ensuite on actionne la machine à relativiser, et on note dans sa tête - ou sur un papier - les éléments qui nous aident à prendre du recul. Parce que tous les arguments qui serviront à vous apaiser pourront apaiser les autres. Une fois que vous vous sentez un peu plus en maîtrise, vous êtes aptes à rassurer.
L’entraide et la transparence
La chose la plus importante, ce qui prime sur le reste dans les moments d’angoisse, de tension ou de découragement, c’est de faire front ensemble. L’entraide est au cœur de la solution. Pour cela, il faut communiquer avec transparence, expliquer clairement la situation à vos collaborateurs, leur demander comment ils se sentent. Que ce soit une crise interne ou externe, il ne faut pas minimiser les défis mais mettre l'accent sur les opportunités et les solutions possibles. Après la pluie, le beau temps. A cela doit bien évidemment s’ajouter un sentiment de cohésion d’équipe qui garantit un soutien moral à toutes et tous. Mais ne jamais oublier de montrer sa présence “on est là, et on sera toujours là pour épauler nos collaborateurs”.
Pour parer au sentiment d’impuissance ou d’angoisse, il y a deux choses à faire :
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Respirer (mais ça normalement vous venez de le faire).
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Ensuite, il faut faire des petites choses, se fixer de minis objectifs qui donnent le sentiment d’avancer. Quand on est anxieux et qu’on a du mal à prendre du recul, se fixer des objectifs peut aider à fixer un cap (clair).
Les petites victoires sont grandes et nous redonnent une prise sur le réel.
Bon courage !