Formation : Est-ce que les jeunes en demandent toujours plus ?
Pulse
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Les jeunes en demandent toujours plus, bienvenue dans Pulse le podcast de la
formation.
D'après et le work, les morts de 34 ans sont les premiers à se former à la
fois pour trouver un emploi mais également pour la reconversion.
Dans ce nouvel épisode, on m'a que eu moi pour parler du sujet.
- Et bien donc on va... - Ah, Fixing Town.
- Allez.
Bonne épisode.
- Bonjour, Fixing.
- Je suis Christophe, comment tu vas ? - Je vais être à Mars.
- Merci, Père. - Bonjour.
- Bonjour.
- Fixing, je te laisse te présenter, nous dire un peu qui tuer.
- Donc moi, j'ai confondé un groupe média qui s'appelle Le Crillon, donc il
est composé du média Le Crillon,
qui est le plus gros média de débats digital, du média les pépites de
France,
qui est le média leader sur le domaine du tourisme du patrimoine en France,
et puis de deux agences, donc le soligneur qui est l'agence de personnel
branding et de relations presse
des entrepreneurs au l'échelle entreprise.
Et aujourd'hui, de la Toile, qui est le nouveau cercle des leaders d'opinion,
qui est un club.
- Top.
Et il reste un peu de temps quand même avec tout ça.
- Un peu pas trop.
- Alors sur ton band O'Ling Dind, j'ai vu le groupe média de la nouvelle gén
ération.
Ça veut dire quoi, en fait, cette nouvelle génération tu nous parle d'une
tranche d'âge,
où tu nous parle d'une transformation en fait plus générale,
de mentalité.
- C'est plus général. Pour moi, c'est la génération qui est née avec les
réseaux sociaux,
qui sont aujourd'hui en fait des nouveaux moins de communication,
autant important que les médias traditionnels.
Aujourd'hui, tu m'aimes les médias traditionnels,
ne sont plus le seul endroit où tu apprends l'information.
La beaucoup de médias digitaux comme une côte écrite,
après ça dépend des secteurs, sont devenus même parfois plus importants
en termes de dirances que beaucoup de médias traditionnels
et au long terme les médias traditionnels disparaîtrons,
s'ils ne s'adaptent pas au code des réseaux sociaux.
Donc pour moi, la nouvelle génération,
c'est justement les gens qui ne s'informent que par ça aujourd'hui.
- D'après toi, comment ces générations vont-elles le mandent d'entreprise
aujourd'hui et surtout, qu'elles sont leurs attentes ?
- C'est marrant, il y a deux quatre figures.
Il y a ceux qui sont obsédés plus par le fait de bien gagner leur vie
qu'ils importent l'industrie et il y a en fait, ils s'en fuissent
d'avoir un métier qui ne leur combien partent,
ils veulent juste bien gagner leur vie.
Et à l'inverse, il y a d'autres.
Le leur première motivation n'est pas du tout le salaire,
mais c'est vraiment d'avoir un métier qui leur plaît,
même s'ils doivent se reconvertir, même s'ils doivent refaire des études,
même s'ils doivent même pas faire des études,
mais directement comment ça a travaillé.
Il y a beaucoup moins cette pression sociale de devoir faire les plus grandes
études possibles
pour avoir les meilleures jobs.
Moi, je connais plein de jeunes autour de moi qui ont réussi à avoir des jobs
parfois mieux payés que certains qui avaient fait des meilleures écoles que,
parce que justement, ils sont directement focalisés dans une formation spéc
ifique,
très vite après le lycée.
Donc aujourd'hui, les codes ont vachement changé et même le regard des gens
là-dessus.
- Et du coup, là, t'as parlé de formation.
C'est quoi leurs attentes que ça soit envers eux-mêmes,
sur s'autophormais ou même que ça soit envers les entreprises dans lesquelles
ils travaillent ? - Bien, effectivement, aujourd'hui, les jeunes veulent apprendre un maximum de
choses. Ils s'est sûr qu'ils veulent s'épanouir dans un domaine qui leur convient,
mais pour ça, il faut bien faire le métier.
Aujourd'hui, on a vachement de surface sur beaucoup de métiers.
On a un passant que ça va être de telle et telle façon.
Et en fait, quand tu commences travailler, t'as un N+1,
ou en fait, tu fais des petites taches que, en fait, n'importe qui,
pour être capable de le faire.
Et donc, tout ce que t'as appris avant en étude,
en formation, ne te ser pas forcément parce que c'est des métiers très
institutionnels.
Là, aujourd'hui, il y a beaucoup de nouveaux métiers qui se créent grâce au
digital.
Et du coup, des formations dessus qui vivant des formations de community
manager,
des formations pour coder des applications,
c'est plein de nouveaux métiers qui avaient beaucoup moins avant,
peut-être pas à ton époque, mais peut-être un seul encore plus de mes
parents.
Donc, ça change un peu les claches.
Merci, Sixteen. Merci pour cet épisode.
Tu dis, oui, on est dans un monde des réseaux sociaux, etc.
Une question quand même de vieux.
Comment aujourd'hui, moi, je le vois, tu vois autour de moi,
comment t'arrives à distinguer le fait du vrai,
justement, parce que, par nature,
moi, depuis que je suis les médias,
j'ai toujours accorté du crédit aux médias,
parce qu'on avait un canal d'informations
qui était censé être fiable et donc on s'est conformé.
Quelque part.
Aujourd'hui, si tu prends, par exemple,
nous serais que Youtube, si on se concentre sur un média social,
comment tu as arrivé à savoir ce qu'est vrai, de ce qu'est faux,
comment tu fais, parce que c'est quand même hyper complexe.
Ça, c'est sûr.
Le seul moyen, c'est que la personne dont tu prends les informations
est suffisamment fiable pour le savoir.
Et ça, c'est parce qu'il y a eu suffisamment d'avis pour trassurer.
Mais ça, c'est impossible de savoir à l'avance que la personne
va être fiable ou non.
En frais de problème, c'est qu'il ne faut pas dire parce que c'est Youtube.
Il y a un risque que ce soit pas fiable aujourd'hui,
Youtube est quand même la plateforme, même en plus utilisée,
je pense que Instagram, même méthane, maillère générale,
beaucoup de gens se forment dessus.
Moi, je sais que mon frère, c'est formé beaucoup plus dessus
que avec des profs au lycée.
Tu apprends énormément de choses en plus avec du contenu qui est gratuit.
Donc, effectivement, après, si tu prends des chaînes comme tu vas arter
pour l'histoire ou qu'importe ta déchelle,
tu sais très bien que c'est très fiable et très crédible.
Après, tu as des gens qui vont te dire qu'il y a des formations en ligne,
qui sont des gros fays qui est en s'en regardent.
Mais en fait, c'est comme partout, tu as des trucs qui sont totalement vrais,
des trucs qui sont complètement faux.
Et ça, à part, avoir eu des avis de deux gens qui l'aurait testés,
c'est compliqué de savoir à l'avoir, en ce réflexion.
Il n'y a pas l'impression que là,
qu'on parle pour reposer puisque tes jeunes tu vieux,
tu as pas... moi, je le vois, par exemple, même avec mes enfants.
Quand ils se sont fasses par exemple à Youtube, ma fille avait 18 ans.
Donc, on va dire, c'est plus vraiment une enfant,
c'est pas vraiment un adulte non plus.
Comment... comment ils peuvent se prémunir de ça,
parce que eux, on ne va pas avoir forcément toujours le discernement, tu vois.
Et je le constate auprès de pas mal de jeunes,
tu vois, qui vont te dire, "Ah ben, moi j'ai vu ça, mais tu sais que c'est un
fait."
Mais lui, où est-il, il ne le sait pas, parce qu'en fait,
il a vu 2 ou 3 vités au viral qui pourtant sont blindés de commentaire.
Et comment on peut se prémunir de ça ?
Ben, généralement, ça, c'est problème, c'est que c'est pareil à la télé
vision,
on regarde des différentes chaînes, elles sont plus ou moins politisées ou
avec des avis plus ou moins divers gens. Et là, la personne pourrait être sur la même chose,
sauf que comme elle est plus jeune, effectivement, c'est le plus un problème.
Après, moi, j'aurais pu se dire que TikTok était un problème là-dessus,
parce que effectivement, la formation est encore moins contrôlée que Youtube,
et encore moins qualitative en termes de qualité de contenu.
Youtube est quand même hyper-calie,
c'est quand même rare d'avoir des chaînes extrêmement suiviques
qui balance des fauses informations,
il n'y a pas vraiment de raison que ça arrive,
dans ce cas-là, si tu as peur pour ta fille ou pour les personnes qui aura
peur pour leurs enfants,
c'est plutôt que TikTok, faut faire attention, plus que Youtube.
En mode Youtube, j'ai vraiment toute confiance cette forme,
contrairement à un TikTok qui est plus difficile à contrôler,
et surtout, la moyenne d'âge est quand même beaucoup plus jeune.
Tu parlais de ton frère qui s'est beaucoup auto-formé via Youtube.
Est-ce que tu crois que c'est vraiment un canal aujourd'hui
qui va d'autres, encore plus se démocratiser pour l'autoformation ?
J'en suis sûr.
J'en suis sûr parce que ces des vidéos qui sont très bien faites,
qui sont courtes tout l'on, ça dépend des sujets.
La plateforme te le met en avant de manière gratuite.
En plus, généralement, les vidéos sont quand même suffisamment bien faites
pour le temps de concentration, et quand tout cas, tu as envie de regarder
jusqu'au bout parce qu'ils ont un intérêt de réduire hier aussi.
Donc en fait, ça, pour un enfant ou pour un jeune adulte, même
même un adulte, ça dépend des thématiques.
C'est beaucoup plus intéressant que d'écouter un prove dans une salle de 35
élèves
avec un prove qui explique sa matière,
mais en fait, il a que 50 minutes pour le faire, et avec 35 élèves
qui écoutent en même temps, et en plus quand tu es en cours,
tu as juste aucune envie de écouter le prove.
Donc en fait, oui, généralement, quand ça vient,
enfin, quand ça va la volonté, elle-même de l'autre de l'étudiant
ou de l'enfant ou de l'adulte, contrairement à ce qu'on te force à l'école
à apprendre des choses, généralement, on va être en apprends beaucoup plus.
Et puis au moins, tu as pas le tout biaisé des méunaux ton prove
qui fait généralement t'adore vraiment tes proves,
quand tu es au lycée ou au collège, alors que là sur Youtube, au moins,
tu connais pas la personne, tu n'es pas biaisé.
Le nombre de cours de maths, je sais plus comment il s'appelait,
mais regarde un petit monosource-ci qui t'a hyper connu lui,
tu as prendre beaucoup plus de trucs que tu as vendu qu'elle prove de maths.
Il utilise en cours de maths.
- Bah ouais, ouais.
- Il y a un prove de maths, diffus, c'est l'idée.
- Ouais, bien sûr.
Pendant les cours.
Et même moi, au lycée, j'avais des cours en filo de Beethoven,
le mec, le mon prof, il me metait des vidéos parfois Youtube de Beethoven.
Et donc en fait, vraiment, les gens s'appuient eux-mêmes les profs.
Ils ont raison, parce que quand tu as 35 élèves, comment tu veux réussir
à faire sorte que un élève par...
Chacalais va apprennent, il perd bien le cours, c'est très compliqué.
C'est un sujet, mais du coup, ça permet que au moins l'élève,
il est seul chez lui avec son cours et il a le temps de mettre pause,
de remettre en arrière, de pouvoir refaire.
C'est notre forme d'éducation qui apporte beaucoup.
L'un n'est pas mieux que l'autre, ça dépend des élèves,
il y a des gens qui apprennent beaucoup mieux en classe avec un prof,
on a qui apprennent beaucoup mieux seuls chez eux.
Ça, on est tous à ces différents là-dessus.
On a qui en a des mémoires visuels d'autoditie.
Donc ça, c'est vraiment des questions qui sont propres à chacun.
Mais pour moi, Youtube va continuer à la fois de s'améliorer en termes de
qualité et de contenu,
et même en termes de diversité de thématiques que tu peux apprendre.
C'est quel audience principalement Youtube on parle de qui en fait ?
Je crois que la moyenne d'âge allait quand même de...
J'aurais 18-34 et plus précisément,
j'aurais peut-être 10-26-34.
Après ça dépend des thématiques, tu peux te suprer de tu.
Suivez sur la cyber-sécurité, je pense pas que t'es de beaucoup de gens
18 ans qui vont l'agirder.
Mais ça reste quand même encore une majorité d'âge qui est très jeune,
mais tu as quand même beaucoup de personnes plus âgées,
qui regardent aussi pas forcément les altematiques,
mais tu as des chaînes comme arté, ou des chaînes de foot,
des replays de foot, donc c'est sur deux tujets.
Moi, je vois quand même un intérêt amont à la formation,
c'est qu'aujourd'hui, avec Youtube,
je sais pas quelqu'un qui se dit "tiens, j'en vais de me réorienter"
ou j'ai envie d'aller dans tel type de carrière.
Il a quand même suffisamment d'éléments de data via Youtube
pour aller voir ce que serait tel métier, tel filière,
aller chercher de l'information beaucoup plus facilement,
voir même des vidéos où les gens se mettent en scène dans notre job.
J'y vois déjà cet interesse sur la compréhension des différents métiers,
en fait, chose qu'il n'existait pas à mon époque,
t'allais au CFDG, c'est ça, et t'allais falliter,
foutez-vous de ma gueule, et t'allais falliter des catalogues.
Qu'est-ce qui aéregardte, je suis obligé comme toi.
On n'est pas là.
Moi, il y avait un sujet par rapport dans le monde des entreprises.
Est-ce que tu penses aujourd'hui qu'il y a une déconnexion entre
ce que l'entreprise offre en matière de formation,
et les vrais besoins du coup de cette nouvelle génération en termes de
formation ?
Je sais pas, parce qu'on est pas l'intérieur de toutes les entreprises.
En tout cas, je sais que les startups poussent vraiment à la formation de
leurs employés.
Non, on le fait beaucoup, mais simplement parce que t'as envie de garder
le plus longtemps possible les gens que tu recrutent,
parce que plus, ce format chez toi, plus vont être pertinents,
donc plus à la fin, leur embo, je vais être remet rentable,
un brandu vraiment entreprise, enfin, dirigeant entreprise derrière.
Mais c'est surtout aussi parce que t'as des jeunes qui le demandent d'être
formés. Je pense que c'est plutôt ça, en fait, c'est n'importe quel j'en ai pas
de quel bote demandait vraiment formé sur tel sujet avec telle formation
qui coûte très temps.
Je pense qu'il y a beaucoup d'entreprises qui seraient prêt à l'offrir.
Peut-être les grosses entreprises très instituées,
peut-être c'est beaucoup plus compliqué, parce qu'il faut faire la ball idée
c'est de ce truc par 15 000 personnes, donc ça y en fait.
En tout cas, les plus jeunes entreprise, je suis sûr que ça,
ils accepteraient plaisir de former leur salarié là-dessus.
Et du coup, par exemple, là, t'as parlé que vous formez aussi vos collaborate
urs.
Du coup, c'est quel type de formation et ça se passe comment ?
C'est soit nous par Paul de la boîte, l'un des fondateurs,
on va dire, sur ces zones où il est un peu meilleur que les autres.
Ils forcentent des sujets, tu vois, c'est un coup, on se rend l'indine.
Il y a mon tour à la fin.
Je pense que ça du mentora, mais à la fois, ça apporte un vrai mindset à l'
équipe, en plus de la motivation et en plus, ça les aide vraiment à progresser.
Et nous, on a un porte-quid de la boîte, une nouvelle nouvelle,
une digitelle formation, est-ce que je peux la faire ?
Parce que j'en ai besoin pour tel truc, mais avec grand plaisir.
Nous, on pousse, nous employés, et vraiment les meilleurs possibles.
Et on voit bien certains qu'on a depuis deux, trois ans dans l'équipe,
le niveau de progression qu'ils les ont, parce que ça avance tellement vite
qu'ils n'ont pas chose à adapter.
Et il y en a beaucoup qui veulent apprendre.
Ça, c'est il y a beaucoup effectivement qui sont hyper flémare
et encore plus, je pense, que à votre génération,
beaucoup qui sont beaucoup plus motivés aussi, parce qu'ils ont hyper fin.
Et donc ça dépend vraiment des profils,
et je pense, d'être des industries, mais il y a tout.
Donc en fait, en train de me dire qu'il n'y a pas d'histoire de génération,
d'un point de vue âge, parce qu'à la fois qu'on retrouve aujourd'hui,
son seux, tu vois, qui étaient existés à 10 ans, il y a 20 ans et à 30 ans.
D'avés des gens, quand n'avaient rien à foutre,
d'avés des gens qui avaient les croits, et il n'y a pas tellement de
différence.
La différence quand même, c'est que aujourd'hui,
tu peux être frileance, tu peux être entrepreneur,
tu peux être à ton compte, c'est beaucoup plus accepté,
même totalement accepté qu'à l'époque, à l'époque,
quand t'étais pas salarié, t'étais de vue comme on a ou de cider,
t'étais vu comme quelqu'un de pas conforme au règles.
Aujourd'hui, c'est devenu même normal d'avoir des entrepreneurs,
d'avoir des frilances, d'avoir en tout cas des métiers différents,
de l'époque, moi, toute ma vie, on m'avait appris que je devais être salarié
Moi, pour moi, être entrepreneur, c'était pas du tout prévu,
enfin, ce n'était même pas un choix de carrière dans ma tête qui était
possible. Parce que c'était, il fallait faire des études et après,
les gravés, les échelons, en fait, ça, quand même,
peut-être qu'à aller 50 ans, tu allais avoir un bon jeu dans ta boîte.
Et tu allais commencer à bien être avie à ce moment-là,
enfin, moi, c'était toujours ce qu'on t'avais appris.
Aujourd'hui, je ne sais pas ce qui se passe en cours,
je n'ai pas d'enfant dans ce genre, mais je suis sûr que la mentalité
est pas chronde différente là-dessus, parce que c'est les opportunités,
grâce aux réseaux sociaux, sont très différentes.
Il y a des nouveaux styles de formation,
dont les formations en ligne, il y en a beaucoup qui sont vraiment...
c'est des gros trucs hyper paylégaux,
en tout cas, qui sont complètement faux,
tu en as aussi des très vrais, qui fonctionneraient vraiment bien pour les
gens.
Donc, il faut juste faire attention à ça,
mais il y a d'autres moyens de se former aujourd'hui,
que par l'école et par les études.
Il y a beaucoup plus d'opportunités,
mais il faut avoir ce fameux discernement et pas partir en tous les sens.
Il y a aussi le côté de responsabilisation,
parce que, dans un de nos épisodes,
on parlait de responsabilisation des salariés,
parce qu'on avait un de nos intervenants
qui ont parlé de la difficulté à récolter les besoins
ou que les salariés se disent,
"J'ai ma liberté pour me former moi-même."
Aujourd'hui, la question qu'on peut se poser,
comment on peut responsabiliser,
que ce soit les nouvelles générations ou les anciennes,
pour qu'ils prennent plus de liberté à s'autophormer
et à utiliser les réseaux sociaux,
ou YouTube, par exemple, pour se former.
Comment les mobiliser ?
C'est juste le rang par les,
c'est juste de la vulgarisation,
pour moi, c'est de la faire comprendre que si ils veulent,
à aller plus vite dans leur carrière,
il s'apprête plus vite des choses,
et parfois il n'y a pas que le terrain,
il faut aussi de la formation.
Ça dépend des métiers,
mais tu as des métiers,
tu n'as pas le choix de te être formé,
être avocat,
quand tu travailles en finance,
quand tu es médecin,
ça, tu n'as pas le choix.
C'est juste évident.
La formation obligatoire,
parce que, voilà,
en revanche, tu peux complètement apprendre sur le terrain
et un verre,
ce même t'apprendreait plus vite sur le terrain.
Mais il ne faut toujours extrême,
il ne faut pas faire des tutos,
ou à l'averser, absolument, on ferait.
Ce n'était pas tout à fait ça.
Alors, il y avait un autre angle,
par rapport à ce que tu dis,
je vais juste préciser la question.
Il y avait un dérage qui nous disait,
on avait le discours de se dire,
aujourd'hui, les entreprises ont leur demande
de préparer le petit déage, de t'offrir les croissants,
de t'inviter en formation,
de tout donner au collaborateur,
mais en fait, la question,
c'est de se dire aussi,
"OK, mais à un moment donné,
il faut aussi que le salarié
est un minimum envi et prenne un minimum moment sa vie
et sa carrière,
et l'entreprise ne va pas tout apporter sur un plateau."
Voilà, c'était ça, le truc, on fait...
Ah, ça va, oui, complètement,
d'accord ?
En fait, c'est les deux.
C'est un envi que tu as employé, soit bien dans ta boîte
parce que tu as envi qu'il a deuxit à boîte,
t'as se développer,
en fait, c'est la même, je sais, les deux.
Ils sont généralement,
ou d'un moment,
quand toi, t'es pas très satisfait dans l'employé,
ou qu'à la verse lui,
ce n'est pas très bien,
parce qu'il n'y a pas le bon culture fit ou autre.
En fait, ça se ressent des deux côtés, c'est très hard,
qui est sa que l'un seul côté.
Et ça arrive, parfois,
il y a des gens qui sont faits
pour d'autres styles d'entreprise autres,
mais faut prendre,
soit de ses employés, c'est sûr,
faut pas dire que l'entreprise soit au pied,
au pied des employés,
faut pas non plus inverser les rôles à se prendre lui-là.
Après, ça dépend,
comme on s'y tu la dessus,
comme on voit ça,
mais moi, je suis pour que mes employés
soient le plus confort possible,
et puis ça prend le maximum de choses,
et qui soient très heureux de venir au trahue du matin.
Je ne sais pas non plus m'plier en cas de s'il y a un cas de pour nous.
C'est...
- Le short que je vais en faire de cette phrase,
c'est qu'il devait citer une compétence clé essentielle
pour le futur.
Dans le cas du monde du travail,
ça serait laquelle,
plutôt une compétence comportementale.
- Une compétence clé pour le futur,
qui n'est pas essentiel,
qui est essentiel,
qui est essentiel par non ?
- Qu'est essentiel pour toi,
et qui est quasiment essentiel pour tout le monde
pour réussir dans le monde professionnel aujourd'hui ?
- L'adaptabilité.
Parce que...
ça va être tellement large que j'aurais disformé,
mais en fait,
moi, je vais mettre à la table.
Ça va juste adapter.
Parce que qu'importe l'industrie,
qu'importe la bonne dans lequel test tu sais bien adapter
t'arrires à toujours à te débrouiller.
- Et qu'est-ce que tu penses que les entreprises aujourd'hui
on va déjà un peu parler, hein,
mais on devrait faire pour vraiment...
permettre alors collaborateur
d'être vraiment motivé et engagé.
Engager, dans le sens...
- Un fort même de répondre à cette question,
est-ce que c'est le rôle de ce côté-là,
on parlait de responsabilisation.
Si un salaire, par exemple,
ne s'arrête pas compte de l'importance de la formation.
Est-ce que c'est à d'abord à l'entreprise
de lui montrer l'importance de la formation et l'intérêt
qu'il a pour sa carrière?
- Oui, je pense...
Je pense que, après, c'est que l'entreprise
n'a pas le temps d'être derrière chaque personne
pour être sûr de s'assurer que les personnes,
bien m'emmuitent se former ou qu'elle pourrait pousser
encore plus loin ces compétences,
mais je pense oui, ça j'en pense.
- Il y a un rôle d'éducation.
- Oui, il y a un rôle...
En fait, c'est un rôle d'un boarding jusqu'au bout, quoi.
- Parce qu'en fait, il y a un rôle d'éducation.
Moi, après, j'ai en avis assez cliven
sur la question, puisque je considère que le système
éducatif français est très bord d'orline,
voire presque inefficace aujourd'hui,
et qu'on demande aujourd'hui aux entreprises
de le remplacer, en fait,
parce qu'en bout de course aujourd'hui,
la plupart des gens de diplômés car ils vont d'entreprise,
- Il s'avent rien fait.
- Il s'avent rien fait.
Et du coup, c'est à l'entreprise
de faire l'éducation qu'il n'a pas été,
en fait, réalisé dans les années précédentes.
- Mais ça c'est parce qu'en cours,
on t'apprend du parqueur,
on t'apprend pas à être utile sur le terrain.
Donc en fait, le parqueur,
elle est obligée si moi après,
et en plus, les élèves sortent de 100%
qui vont être les rois du monde.
En fait, il s'avait en fait hétéciquement.
- Je crois que c'est pas qu'un problème de parqueur,
t'as des élèves qui sont sortes avec du parqueur.
Je crois que c'est un problème d'adaptabilité,
comme tu l'as dit, du système à la réalité
de ce qui est notre économie.
C'est-à-dire que ce qu'on nous apprend aujourd'hui,
ce qu'on apprend aujourd'hui à l'école,
c'est basé sur un système économique
qui a déjà 15 ans.
Ce n'est pas...
C'est radapter, mais...
- Bah ça décennit.
- Ça prépare.
- On a la réalité sur le droit de faire.
- On voit bien par exemple, en France,
on manque de...
Tu parlais de la cyber-sécurité.
Très bon exemple tout à l'heure.
Cyber-sécurité, pénurie de main-de-oeuf, personne de veiller.
- Ouais, bien sûr.
- Pourquoi ?
Parce qu'il n'y a aucune formation qui incite à y aller
parce que ça a pas été intégré dans les programmes préalables.
Donc, voilà.
Donc je pense qu'il y a cette obligation
de la part des entreprises
à continuer l'éducation tout au long de la vie des collaborateurs.
Mais pour autant ça va pas dire,
l'étenir par la main.
Donc oui, les informer les éduqués.
- Ouais, c'est bon.
- Voilà, c'est mon podcast.
C'est moi qui...
(rires)
- C'est important.
C'est une vision peut-être pessimiste du système actuel,
mais je pense que les entreprises n'ont pas le choix.
- Après, aujourd'hui, on voit qu'il y a de plus en plus
de décolle de nouvelles écoles
qui forment sur des métiers spécifiques
qu'on ne trouve pas aujourd'hui dans les universités, etc.
Donc ça, c'est aussi le côté positif de ce qui se passe aujourd'hui.
- Après, je trouve ça assez cool, un média comme YouTube,
qui vient donner la chance à tout le monde quelque part
d'avoir accès à l'information.
Mais je trouve quand même que ça reste limiter un certain public.
Parce que je pense qu'il faut déjà avoir une certaine appétence
pour se dire "Je vais aller", enfin, même pas appétence,
mais une certaine...
Un certaine esthat d'esprit pour se dire "Je vais aller sur YouTube" à prendre
- Oui, mais alors dans ce cas là, tout va être trop compliqué
parce que si dans plus, on doit faire comprendre nos gens
qui se font qu'ils aient été d'esprit à la base.
Enfin, ça, par exemple dans ce cas là, il n'y a pas de solution.
Tu vois, moi je trouve justement génial ce que YouTube fait
et que justement, ça ne importe qu'elle personne,
de n'importe quel catégorie sociale, qu'un pourdoule vient
de pouvoir réussir à se démerder avec les mêmes chances
que les autres par rapport à ce qui est proposé sur YouTube.
Et qu'il n'y a pas de côté de si tu paies un truc,
tu seras plus avantageé, t'as quand même ce côté d'égalité
qui est justement sympa que tu peux peut-être moins retrouver
avec le côté école privé et que tu...
- Mais je trouve que c'est déjà suffisamment démocratisé
l'usage de YouTube en France,
- Ça c'est l'école... - ...en France,
en région parisienne, par exemple.
- Non, pas assez.
- Bah les gens sont encore vachement réinterndants.
Regardez la télé, regardez des... Bien sûr.
Après c'est aussi parce qu'à la télé, on a mis du contenu
des émissions de terrorité qui intéressent beaucoup
les gens hors de Paris.
Et ça, effectivement, des enquêtes, je sais pas quoi,
faire des trucs, effectivement, si tu mets du contenu beaucoup plus
dans des réçons à la télé et en termes...
Ce que ça peut être à prendre intellectuellement,
tu n'aurais déjà une autre réalité des choses aujourd'hui,
ça je suis convaincu.
- Cool. On se fait l'optic quiz.
Allez, vas-y, commence.
- J'aurais pas de là ou l'autre, ça ? - Ouais.
- L'un ou l'autre oui.
Formation en ligne, révolution ou simple mode.
- Révolution.
- Posqu'à fait, véritable pause,
ou meilleur moment pour résoter.
- Mire moment pour résoter.
- Apprendre en jouant, récréation ou révolution.
- Ou révolution ? - Oui.
- Nous fais pas répéter pour gagner du temps.
- Ah, non.
- En jouant.
- Révolution.
- Autoformation sur YouTube.
- Démocratisation du savoir
ou bricolage de connaissance.
- Démocratisation du savoir.
- Les robots en place rendent-ils les formateurs.
Oui ou non ?
- Ça n'est pas vrai que tes gorils, mais je pense.
- Formation obligatoire en entreprise.
Motivation ou punition ?
- Motivation.
- L'autoformation.
- C'est une autonomie ou isolement ?
- Autonomie.
- La formation.
Un investissement ou une dépense ?
- Un investissement.
- Les soft skills.
C'est indispensable ou juste un terme marketing ?
- Un dispensable.
- La France est à la modèle de formation continue.
Oui ou non ?
- Non.
- Merci, sextine.
Dernière question.
Comment toi tu te formes au quotidien ?
- Son le terrain.
- Je peux continuer de...
- Mais c'est...
- Le cuis est terminé.
- Le cuis est terminé.
- Son le terrain.
- Non, sur le terrain.
Je ne suis jamais appris autrement que par ça.
En fait, moi, elle est une montreine à prise.
Au lycée, j'ai eu des profs merveilleux
qui sans eux je pense,
j'aurais jamais été comme ça aujourd'hui.
Donc moi, ça y a un vrai impact sur moi d'avoir des profs géniaux.
Mais aujourd'hui, tout ce que j'apprends, je la prends sur le terrain.
En vrai, je suis aucune formation.
- Même l'entreprend arrière avant te lancer
en temps d'expérience.
Ça s'est fait sur le temps.
- Oui, c'est vrai.
- Aucune formation suivie.
- J'avais 18 ans quand j'ai commencé.
Non, vraiment tous ces faits naturellement sur le terrain.
Après, t'as des compétences qui sont beaucoup plus inégres d'autres.
Et donc au lieu d'essayer de combler avec celles que j'avais pas.
Alors, en vrai, j'ai vraiment poussé celles que j'avais déjà.
Ce qui me permette de devenir vraiment l'une des meilleurs dans un moment.
Et je préfère essayer de stratégie-là
que de être au lieu d'être bonne par tout.
Je préfère être excellent dans un truc.
- Cool.
- Très bien.
- Merci beaucoup.
[Musique]